La routine matinale de Jean-Baptiste Talbourdet-Napoleone
Texte Matthieu Morge-Zucconi
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Le directeur artistique de M Le Magazine du Monde nous guide dans sa matinée.
“Le samedi matin, c’est le seul moment où je suis un peu libre”, nous explique Jean-Baptiste Talbourdet-Napoleone alors qu’il nous accueille dans l’appartement qu’il partage avec sa fiancée dans le 6ème arrondissement de Paris. “La plupart du temps, ma routine est donc express”, s’excuse-t-il presque. Pas tant que ça, pourtant. Pour Horace, il la présente.
Il faut dire que l’homme cumule les casquettes : directeur artistique et directeur de l’image de M, Le Magazine du Monde, il est aussi directeur artistique freelance pour des clients aussi divers que Hermès, Courrèges ou Pallas. Une carrière qu’il a embrassé jeune, alors qu’il entamait sa deuxième année à l’EPSAA, école de graphisme de Paris. “Après les Ateliers de Sèvres, j’ai fait 1 an à l’école puis je suis allé faire ma deuxième année en milieu professionnel, d’abord en agence de pub, puis aux Éditions Jalou”. Là-bas, il rencontre Antoine Jean, de l’agence Funny Bones, et Eric Pillaut, alors directeur artistique du Jalouse, qu’il suivra lors de son arrivée au Monde, en 2011. Ensemble, ils travaillent sur le lancement de M, le Magazine du Monde, et leur collaboration dure jusqu’à aujourd’hui. “Cela fait presque dix ans que l’on travaille tous ensemble”.
S’il évolue sur plusieurs fronts, Jean-Baptiste n’est pourtant pas un lève-tôt. Habituellement, son réveil sonne à 9h10. Une exception est faite pour le jeudi, où une conférence de rédaction au magazine lui impose un réveil à 8h30. “Disons que c’est un impératif”. Pourtant, il nous explique que plus il vieillit, plus il a tendance à se lever tôt. “Même si je sors jusqu’à 6h du matin, ce qui doit arriver deux fois par an, je me lève à 11h, non sans peine”. Même ses dimanche sont animés : l’homme est debout à 10h pour aller rejoindre ses amis, avec qui il joue au foot. Membre de l’Atletico Paris, il a remporté avec son équipe la dernière ligue Le Ballon FC. Perfectionniste, même le dimanche.
“La première chose que je fais, évidemment, c’est embrasser ma fiancée”. Ensuite, après quelques minutes qu’il passe à consulter ses mails et l’inévitable Instagram, Jean-Baptiste se rend dans la salle de bain. Il se brosse d’abord les dents, avec du Marvis (“c’est quand même plus joli”), puis saute rapidement sous la douche. “Souvent, je fais très vite”.
Depuis plus d’un an, Jean-Baptiste utilise les produits Baxter of California pour ses cheveux, shampoing comme après-shampoing. Attiré à l’origine par le packaging de la marque, il lui est depuis resté fidèle. Une attention particulière est d’ailleurs portée à ses cheveux. “J’ai les cheveux plutôt épais, presque crépus”. Pour les dompter, il utilise une brillantine trouvée dans un magasin du Passage de l’Industrie, un classique des cheveux crépus conseillé par un ami coiffeur, et emprunte à sa fiancée un sérum David Mallett, qui les rend plus soyeux et brillants.
“Ensuite, je mets du déodorant, Baxter of California toujours, et je descends m’habiller”. Il descend, puisque sa salle de bain, comme sa chambre, sont placées en haut d’un périlleux escalier en colimaçon.
Son petit déjeuner est minimal, chez lui du moins. Jean-Baptiste a arrêté le café il y a presque un an, sur les conseils de son kiné, qui voyait là une source de stress. “Il m’arrive, au bureau, de boire un chocolat au lait, pour compenser”. Pourtant, chez lui, l’homme préfère boire un jus de citron, meilleur pour l’organisme lorsqu’il est à jeun. Il confie toutefois se laisser aller, sur les shootings, à prendre un petit déjeuner : “c’est mon côté gourmand qui prend le dessus, mais le petit déjeuner, c’est surtout en vacances”.
Jean-Baptiste se rend ensuite place Saint-Germain, où il gare son scooter. C’est en deux-roues qu’il se rend aux bureaux du Monde, situés dans le 13ème arrondissement de Paris. Une nouvelle journée de travail débute pour lui.
Photos : Otto Seubu
Les produits de la routine matinale de Jean-Baptiste Talbourdet-Napoleone
S’il évolue sur plusieurs fronts, Jean-Baptiste n’est pourtant pas un lève-tôt. Habituellement, son réveil sonne à 9h10. Une exception est faite pour le jeudi, où une conférence de rédaction au magazine lui impose un réveil à 8h30. “Disons que c’est un impératif”. Pourtant, il nous explique que plus il vieillit, plus il a tendance à se lever tôt. “Même si je sors jusqu’à 6h du matin, ce qui doit arriver deux fois par an, je me lève à 11h, non sans peine”. Même ses dimanche sont animés : l’homme est debout à 10h pour aller rejoindre ses amis, avec qui il joue au foot. Membre de l’Atletico Paris, il a remporté avec son équipe la dernière ligue Le Ballon FC. Perfectionniste, même le dimanche.
“La première chose que je fais, évidemment, c’est embrasser ma fiancée”. Ensuite, après quelques minutes qu’il passe à consulter ses mails et l’inévitable Instagram, Jean-Baptiste se rend dans la salle de bain. Il se brosse d’abord les dents, avec du Marvis (“c’est quand même plus joli”), puis saute rapidement sous la douche. “Souvent, je fais très vite”.
Depuis plus d’un an, Jean-Baptiste utilise les produits Baxter of California pour ses cheveux, shampoing comme après-shampoing. Attiré à l’origine par le packaging de la marque, il lui est depuis resté fidèle. Une attention particulière est d’ailleurs portée à ses cheveux. “J’ai les cheveux plutôt épais, presque crépus”. Pour les dompter, il utilise une brillantine trouvée dans un magasin du Passage de l’Industrie, un classique des cheveux crépus conseillé par un ami coiffeur, et emprunte à sa fiancée un sérum David Mallett, qui les rend plus soyeux et brillants.
“Ensuite, je mets du déodorant, Baxter of California toujours, et je descends m’habiller”. Il descend, puisque sa salle de bain, comme sa chambre, sont placées en haut d’un périlleux escalier en colimaçon.
Son petit déjeuner est minimal, chez lui du moins. Jean-Baptiste a arrêté le café il y a presque un an, sur les conseils de son kiné, qui voyait là une source de stress. “Il m’arrive, au bureau, de boire un chocolat au lait, pour compenser”. Pourtant, chez lui, l’homme préfère boire un jus de citron, meilleur pour l’organisme lorsqu’il est à jeun. Il confie toutefois se laisser aller, sur les shootings, à prendre un petit déjeuner : “c’est mon côté gourmand qui prend le dessus, mais le petit déjeuner, c’est surtout en vacances”.
Jean-Baptiste se rend ensuite place Saint-Germain, où il gare son scooter. C’est en deux-roues qu’il se rend aux bureaux du Monde, situés dans le 13ème arrondissement de Paris. Une nouvelle journée de travail débute pour lui.
Photos : Otto Seubu